Caroline Dumontier nourrit sa passion pour le théâtre depuis l’enfance. 
On a pu la voir jouer dans des spectacles de commedia dell’arte (compagnie En Acte) ; dans une pièce inspirée du théâtre Bunraku : « les amants de Sonezaki » d’après Chikamatsu Monzeamon (dirigée par Serge Nicolaï lors des 18° rencontres internationales de théâtre en Corse) ; elle joue aussi dans « Le mandat » de Nicolaï Erdman (m.e.s. par Serge Lipszic lors des 18° rencontres internationales de théâtre en Corse) ; ainsi que dans « Berlin ton danseur est la mort » d’Enzo Cormann (m.e.s. Apolline Martinelli et Juliette Blanchard) ; elle participe aussi à deux créations musicales encadrées par Thomas Bellorini (l’une sur l’œuvre de Gainsbourg, l’autre sur celle de Brel) et en 2016 elle conclut sa formation de trois ans à l’école Claude Mathieu (18° arrondissement de Paris) en intégrant l’audition promotionnelle « Tout peut changer » (d’après l’œuvre de Shakespeare) dirigée par Alexandre Zloto.

Depuis 2017, elle a fondé la compagnie Ceci n’est pas une tortue, dans laquelle elle a participé à « Allers, retours » d’après Ödön von Horvàth (m.e.s. Marion Bosgiraud) ; et tourné dans plusieurs courts-métrages et un long métrage (réalisé par Nicholas Murphy).
Plus récemment, elle collabore avec le « collectif masque » sur le projet « Voix de femmes – Un tour du monde », un spectacle masqué, musical et poétique. (m.e.s. Mariana Araoz) ; elle travaille aussi sur « Vanille poubelle », une pièce jeune public de Stéphanie Marchais (m.e.s. Marion Bosgiraud).

Dans la plus part de ses projets, elle participe aussi comme pianiste et violoniste, instruments qu’elle pratique depuis près de vingt ans.